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caftan

9 août 2006

une palissades de photos sur le sujet du caftan

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9 août 2006

prêt a porter

Emaèle Duqué World fashion G.D Fidèle au concept de sa marque “Orient by Emaèle”, la nouvelle collection d'Emaèle Duqué plonge au cœur des sources du Maroc pour les broderies et les couleurs, de l’Inde pour ce bel effet si tendance “tie and dye” des tissus. Une collection de PAP éthérée, fluide et… romantique à souhait. Sous contrôle. Ouvert aux horizons. Fortement contrasté… L’univers d’Emaèle Duqué est doté d’un fort tempérament où le millimètre semble donner la mesure. Précise et (ultra) organisée, la créatrice avoue vouer un culte à l’ordre comme support de travail. “Photos de voyages, tissus, accessoires, vêtements vintage de ma famille, collection de magazines de mode, livres d’art… tout est rangé, étiqueté, à sa place pour être à ma disposition lorsque je travaille.” Photos de voyage : une armoire (sublime) art-déco qui s’ouvre sur une centaine d’albums photo soigneusement légendés, chacun donnant le ton : Dieu ou le diable sont dans le détail dans le monde de la créatrice. Ses collections lui ressemblent : des lignes épurées, des tissus dits terriens, bruts dans la tendance ethnique chic qui traversent le PAP depuis quelques années pour des pièces douces, toujours élégantes et ouvertes au rêve. Pour le défilé de La Semaine De La Mode by Caftan, Emaèle, des tissus hindous plein ses sacs de voyage, a dessiné une ligne proche de celle du caftan classique. Au final, un très beau tableau de robes-caftans longues, fendues sur les côtés avec des sfiffates bicolores, et des finitions maâlem, aux couleurs délavées dans un tie et dye des plus tendances, cet été. Si les tissus indiens sont la spécificité de sa collection printemps-été 2005, le lin, les soies et tissus froissés sont également au rendez-vous pour des tableaux à la fois hindous et marocains, tendance émergente de cette Semaine de la Mode. Accessoirisée par la très originale ligne de bijoux “Karma”, pièces-sculptures brutes pour un effet des plus raffinés, sa collection habille une femme intemporelle. De son regard doux et aiguisé à la fois, Emalèle Duqué affirme que “le marché du prêt-à-porter n’existe pas encore au Maroc. Il est difficile partout, mais peut-être plus encore ici, où les regards sont encore trop tournés vers les marques occidentales. Consommer “l’autre” peut être ludique, mais il faut également soutenir la création de proximité culturelle qui explose avec tous ces créateurs se battant ici et nulle part ailleurs”. Son parcours le prêt-à-porter, c’est d’abord son… métier. Tout le secteur de la mode à Casa connaît la longue silhouette blonde de cette jeune belge installée au Maroc depuis 1996. Au Collège Lasalle, durant 3 années, la créatrice, dont la marque “Emaèle Duqué” déposée en Belgique avait déjà quelques défilés à son actif, devient “professeur” . En 2003, sa marque“Orient by Emaèle” fait ses premiers pas entre Casa et Marrakech où sa version homme est exposée au “Comptoir de Casablanca”. Ce pur produit des Beaux Arts d’Anvers et de la Chambre syndicale de la Haute-Couture à Paris, ne semble vivre et respirer que pour la mode. Preuve en est : ses défilés menés avec une rigueur de métronome. imageaimagebimagecimagedimageeimagef
9 août 2006

prêt a porter

Zina.B Le printemps à deux Y.B. Mère-fille. Un duo dans l’ère du temps, dans la mode. Ce couple Naïma-Zineb s’essaient pour la première fois au PAP. Jupes à dentelles esprit gitane, veste rose ou pistache… C’est une collection jeune, fraîche et très printanière que les deux stylistes nous présentent. La mère et la fille partagent la même passion pour la mode. Elles suivent ensemble “Fashion TV” et quelques séries américaines branchées. Elles “magasinent” ensemble du Maârif au Triangle d'or ou boulevard Massira, feuilletant les revues… c'est là qu'elles trouvent leur source d'inspiration, autour d'elles : une série TV, un magazine, un tableau de fleurs de Naïma... Pourtant, elles sont loin de partager la même vision. “Je suis beaucoup plus classique”, reconnaît Zineb. Sans doute le décalage des générations qui au Maroc s'effectue à l'envers. “A 15 ans, je portais la mini-jupe”, se rappelle la mère. “On était beaucoup plus libérés que cette génération de jeunes filles presque toutes voilées !”. Toujours est-il que le duo fonctionne, assurant presque un équilibre aux créations. De l'audace : des ventres nus, des transparents et des tops courts très sexy, et du classicisme, du raffinement avec la touche marocaine attendue : sfifa, broderies squalli or, aâkad… la collection est toute inspirée du printemps et de la grande tendance gitane. Des couleurs orange, turquoise, fuchsia et des mauves lilas. Une jupe séroual trompe-l'œil en taffetas de soie pistache sous une veste rose ou une veste en brocart froissé brodé sur un pantalon cigare avec jupette en dentelle or. “Le PAP, c'est beaucoup plus compliqué !”, reconnaissent les deux stylistes. “Pour nous, comme pour les artisans qui ne savent pas comment manier les tenues et qu'il a fallu former”. Sur l'avenir du PAP, Zineb est confiante. Davantage concernant le marché à l'export d'ailleurs que le marché local. “Ici, on préfère les marques connues et chères !” Leurs parcours naïma, selon sa propre expression, n'a rien fait d'autre durant des années que de s'occuper de ses enfants. Puis elle commence à peindre, trois ans à l'Ecole Technique des Arts Plastiques (ETAP), et participe à quelques expositions. En 96, elle se lance dans la couture et organise, l'année suivante, son premier défilé. D'autres suivront bientôt au profit d'associations caritatives. Quelques années plus tard, sa fille la rejoint sur le chemin de la création. Après deux ans de commerce à Paris, un an de pub à Strasbourg, Zineb décide en effet de suivre les traces de maman. Elle suit une formation au Collège Lasalle à Casa avant de rejoindre l'atelier qu'elle connaît déjà bien. abcdef
9 août 2006

prêt a porter 2006

Fadéla Berrada Lettres sur soie G.D Un peu lasse quelquefois du caftan traditionnel, Fadéla se lance avec succès en 2001 dans le Prêt-à-porter. Elle réitère cette année avec une collection dans laquelle elle conserve tous ses réflexes Haute-Couture. Réticente à passer à “l'ère industrielle”, elle opte pour le “tout fait main”. Ce réveil du PAP marocain, Fadéla l’attendait. Côté styliste, c’est pour elle d’abord “une ouverture pour les jeunes talents. la Haute-Couture revenait trop cher…”. Les contraintes du caftan commençaient aussi à se faire sentir, d’ailleurs “d’année en année, il s’européanisait”, remarque la styliste. Si Fadéla recherche plus de liberté dans la création, elle reste dans son travail résolument amarrée à ses racines maghrébines. D’origine algérienne (kabyle), de mère turque, marocaine d’adoption, Fadéla est fascinée par l’écriture et la calligraphie. Lors de ses premières collections, elle s’inspire du signe arabe et berbère (amazigh et tifinagh) qu’elle mêle harmonieusement, comme pour faire mieux communiquer les deux peuples. Elle dit rêver d’une tenue qui réunirait toutes les écritures du monde. Pour l’heure, elle travaille “sur l’hébreu avec des amis juifs, pas facile de trouver des documents ici !” constate-t-elle. Mais pour cette collection de PAP, ce sont d’autres signes qu’elle a empruntés : ceux très poétiques de l’artiste Rachid Koraïchi. C’est en 2000 qu’elle travaille avec lui pour la première fois, pour une collection présentée en Jordanie: “le chemin des roses”. Elle extrait de ses tableaux quelques signes qu’elle brode en argent. Pour sa collection, Fadéla s’inspire des vagues et du vent qui lui soufflent ses matières fluides, comme la mousseline et les jeux de transparence. Elle aime les couleurs miel et cuivrées, et les solaires, de fin de journée exactement, avec leurs traînées rouges et fuchsia (son second thème). Huit autres tenues, aux tons de blancs, terminent cette collection tout en légèreté. Son parcours “vétérante” de la jeune haute couture marocaine, Fadéla a consacré sa vie à la mode. Enfin presque… Elle enseigne à la Mission française la “coupe et couture” à des CAP, puis passe en 1963 à l'enseignement marocain, dans l'administration, tout en jouant chez elle du crayon et des ciseaux. 1987, c'est le grand saut : elle ouvre son atelier et organise deux ans plus tard son premier défilé à Casa. Elle enchaîne depuis les défilés, en France, en Jordanie et au Maroc. Elle a défilé pour 5 “Caftan”, le premier en 1996 qui a permis à son talent de rayonner ; la dernière édition, quant à elle, a été marquée par une créativité tout en fleurs sur fond de soie et de satin duchesse. image1image2image3image4image5image6
9 août 2006

caftan 2006 prêt a porter

Simohamed Lakhdar L’appel de l’Afrique G.D Le premier jean’s remastérisé zellige et aâkad aux couleurs flamboyantes aperçu dans la rédaction FDM… C’était lui en 2002. Simohamed Lakhdar a toujours épanoui son travail de créateur avec la morrocan touch. Cette année, sa collection PAP, comme celle de Caftan, est un hymne à l’Afrique. C’est LE styliste en orbite, cette saison. L’un des plus créatifs, des plus “quick”, des plus créatifs dans les moindres détails. Simohamed Lakhdar puise toute sa virtuosité dans ce mélange de technique et de terroir de la Haute-Couture. Roi du mix, il est le chef d’orchestre de l’accord parfait entre zelliges et soie, akad et orange ou bleu vifs, broderies fassia et satin, lin et mousseline, perles et rustique : “Je ne pourrais pas vivre sans couleurs”, déclare-t-il, et il jongle avec comme un grand peintre devant sa palette. Toujours juste. Toujours pile. Toujours parfaitement tombés. Ses caftans comme ses pièces de prêt-à-porter qu’il travaille depuis 2002 autour d’un thème identique, chaque année, ont, de facto, donné de l’avance au créateur. C’est ainsi que l’on pense aux créations Simohamed Lakhdar en années… soit Caftan 2002 et les zelliges et âakad ; Caftan 2003 et les broderies de Fès ; Caftan 2004 et les signes de la berbérité et enfin… Caftan et la SDLM 2005 et l’Afrique. Pile poil dans la tendance mais plus précisément : “C’est mon travail sur les signes berbères, l’an dernier, qui m’a mené à explorer la part africaine du Maroc. On retrouve parfois les mêmes motifs et couleurs dans certains tapis berbères comme ceux d’Afrique subsaharienne. Travailler sur ce thème, l’Afrique, dont la palette est sublime, a été d’une jouissance inégalée.” Sa collection de prêt-à-porter pour la SDLM se décline autour de pièces black and white, autant d’écrins, toiles de fond, pour des motifs inspirés de l’art africain. Unité, toujours, maître mot dans le travail de Lakhdar. Jusqu’à ce train d’avance, un de plus, dans le prêt-à-porter : En partenariat avec Meriem Benamour (au flair pour le moins aiguisé et inspiré), la marque “Mahe-me” (by Simohamed Lakhdar) prendra ses marques début mai avec un show room. Créations et lignes de prêt-à-porter, caftans Haute-Couture, point de vente (et de repères), Simohamed Lakhdar prend, ici, son envol. Tout cela en moins de 5 années. Pour un début… Son parcours etudiant en géologie à Fès pour faire plaisir à papa, Simohamed lâche tout en deuxième année de fac et met sa famille devant le fait accompli : “Ou bien je suis inscrit à Esmod lors de la prochaine rentrée universitaire, ou alors je vais tenir les murs et les tables de tous les cafés de Fès”. Ses parents soutiennent sa démarche, sans trop y croire “Pour eux couturier, c'était un métier de femmes”, dit-il en riant. Diplôme en poche (1996), il travaille pour une société de prêt-à-porter de Mohammédia et défile pour “Caftan” en 2002. Immédiatement repéré par les afficionadas de Caftan pour sa créativité débridée, il fait partie du top five des stylistes marocains les plus en vue. image3image4image5image6
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9 août 2006

caftan 2006

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9 août 2006

caftan 2006

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